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La Rédaction

Isabelle Capron (VP International, DG Paris, ICICLE) : « Nous cherchons à inspirer l’industrie de la mode en montrant un chemin plus vertueux de...

En 1997, loin de la frénésie éco-responsable actuelle qui fleurit sur le marché de la mode, ICICLE voit le jour à Shanghai. Son idée : un prêt à porter « Made in Earth », haut de gamme et éco-responsable. Dans le berceau de la fast fashion, le projet contraste. Avec plus de 20 ans d’expertise au compteur, quelque 290M € de CA et un déploiement à l’international qui s’intensifie, le succès de cet avant-gardiste de la mode éthique attire l’attention de la rédaction. Comment la marque est-elle parvenue à construire son empire dans un pays comme la Chine à l’aube des années 2000 ? Comment l’entreprise vit-elle l’arrivée des nombreux projets de prêt à porter éco-orientés ? Rencontre avec Isabelle Capron, Vice Présidente Internationale chez ICICLE Shanghai Fashion Group, et Directrice Générale Paris.

Peut-on penser la crise comme une bonne nouvelle ?

Prendre l’impact de la crise covid-19 à contrepied : illusoire ou nécessaire ? Face à une culture médiatique de la mauvaise nouvelle, un billet d’humeur entre cynisme et légèreté sur ce que la crise pourrait finalement nous apporter de bon.

Jean-Philippe Courtois, Live For Good : “ Il faut savoir faire preuve de résilience face aux montagnes russes de l’entrepreneuriat social”

L’état des lieux est sans appel : un marché du travail ultra saturé, une jeunesse diplômée ambitieuse, une multiplication des innovations digitales, une croissance continue des capacités et de la maîtrise de la data, et une urgence écologique, sociale et solidaire. Partant de ce quadruple constat, Live For Good s’engage depuis 2015 dans l’entrepreneuriat social et l’accélération de la révolution technologique via l’incubation de projets vertueux portés par les moins de 30 ans. Dans un contexte de crise sans précédent, quels impacts sur ces projets florissants ? Rencontre avec Jean-Philippe Courtois, co-fondateur de Live for Good.

The Good donne la parole aux acteurs du changement avec “Good Thoughts”

Quelle Economie du Good pour 2021 ? Si le reconfinement jette le flou sur un paysage entrepreneurial en quête de révolution écologique, sociale et solidaire, pas question de se laisser miner et de remettre à demain des mutations entrepreneuriales que le monde ne saurait plus attendre. En cette nouvelle période d’incertitude, The Good se mobilise et donne la parole aux penseurs et faiseurs de l’écosystème du Good.

Marie-Anne Debay, membre du C3D et responsable RSE du Groupe Albéa : “Il faut éradiquer le déchet et donc réduire, recycler et réutiliser”

Sur le podium des industries à l’ADN pas franchement good, on compte évidemment celle du packaging. Heureusement, certains savent investir du temps et des moyens pour se transformer. Leader mondial du packaging beauté, Albéa s’engage depuis 15 ans dans une politique RSE solide visant à construire et pérenniser une économie circulaire autour de sa production. Pour en savoir plus sur le parcours de ce mastodonte de l’emballage qui fréquente le plastique, le luxe et leur mutation de très très près, nous rencontrons Marie-Anne Debay, membre du C3D (Collège des Directeurs du Développement Durable) et RSE & Change Communication Manager du Groupe Albéa.

Semaine de 4 jours, une utopie, mais pour qui ?

À en croire la multiplication des entreprises se lançant dans ce nouveau format de cadre salarial, il semblerait que travailler moins ne soit pas qu’un avantage pour les salariés. Une fois de plus, les chiffres et engagements en cascades démontrent que la transition sociale et solidaire peut se conjuguer durablement avec la performance économique des entreprises. Pour mieux comprendre ces enjeux, l’importance et les avantages d’une transition des entreprises en interne, nous rencontrons les dirigeants de Welcome to the Jungle et l’agence YZ, deux acteurs qui ont décidé de sauter le pas et d’adopter la semaine de 4 jours.

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