1. Comprendre le décret
Le texte, attendu depuis 6 ans, oblige les marques à informer les consommateurs sur l’impact environnemental de leurs vêtements : émissions de CO₂, pollution de l’eau, usage de matières premières, etc. Un affichage lisible, basé sur des données vérifiées, devient une exigence réglementaire.
2. Adopter une méthode éprouvée
Clear Fashion, qui a déjà évalué plus de 15 000 produits, propose aux marques un accompagnement fondé sur une méthode validée par le CESIAe. Leur « Fashion Score » intègre l’ensemble des critères demandés par la réglementation, avec une lecture claire pour les consommateurs.
3. Faire de la transparence un levier de confiance
Au-delà de la conformité, l’affichage environnemental peut devenir un avantage compétitif. En rendant visibles les efforts (matières recyclées, production locale, traçabilité…), les marques créent un lien de confiance avec leurs clients et affirment leur engagement.
4. Se préparer aux échéances
Le décret est en cours de finalisation pour une mise en application progressive dès 2026. Mieux vaut s’y atteler dès aujourd’hui : collecte des données, vérification des chaînes d’approvisionnement, choix de la méthodologie… autant de chantiers à ne pas sous-estimer.
5. Se faire accompagner
Clear Fashion propose une plateforme et un accompagnement personnalisé. De nombreuses marques (Petit Bateau, Picture, JOTT, etc.) l’ont déjà adopté pour afficher leurs engagements et anticiper la loi.
En résumé : l’affichage environnemental n’est plus une option, mais une opportunité. En s’équipant dès maintenant des bons outils, les marques peuvent allier transparence, compétitivité et impact positif.